Nous sommes tous revenus sains et saufs du Tour de Camaret. 18,5 km c'est la distance que nous avons parcourrue ! Les participants (Christiane, Isa, Yannig, Anne et Dom), ont pris le temps, avec leurs yeux acérés, de décortiquer tout ce que le paysage Camaretois avait à leur offrir. Un plus : la présence de l'ethnologue de l'association qui nous a fait un débriefing des bistrots de la commune. Même si nous avons été un peu choquées quand Yannig s'est soulagé dans la lande, peu avant de marcher sur un sentier devenu torrent nous avons passé une super journée ensoleillée ! Voici quelque uns des clichés pris par Anne. Les autres seront mis en ligne dès qu'Anne et Isa auront fait leur sélection.
Sur la ligne de départ. Nous avons trouvé une autochtone pour nous photographier. Certaines sont déjà éblouies ! Le sentier démarre sur le port. Ensuite nous sommes arrivés au fort du Gouin. Un fort Napoléonien "Modèle" comme nous l'a indiqué Christiane De La Brousse.
Plus tard Isa et Yannig ont exploré le mur de l'Atlantique avec beaucoup d'intérêt. Ils ont voulu nous faie un remake de la bataille de Normandie (pour de faux). Les gens sont gamins dès fois !
Nous avons repris notre chemin, et croisé une dame esquimau qui était perdue. Alors on l'a aidée. C'est bien hein !
On a quand même pris une photo de la dame en question (ci-dessous)...C'est un problème ethnologique à Camaret !
Nous ne pouvions pas déjeuner ailleurs qu'au pieds de la croix de Lorraine. On a bronzé un peu puis on est reparti vers l'est.
La dame esquimau a essayé de nous suivre mais on l'a balancée à la flotte. Du moins Yannig parceque c'était "L'HOMME" de l'équipe.
Puis, brutalement, il s'est soulagé sur la lande. Evidement, Chritiane De La Brousse s'est évanouie. Il a fallut lui donner des baffes, mais après elle est repartie de plus belle, prête à affronter les torrents les plus dangeureux.
Isa a eu du mal dans ce monde hostile qui nous attendait à l'intérieur des terre. Elle a prié St Julien à la chapelle mais rien n'y a fait. Elle a décidé qu'elle n'irait plus aux communions. Pendant ce temps Anne que l'on ne voit pas prenait les photos en pleurnichant :' j'ai les pieds mouillés, c'est encore loin" ? Le boulet quoi ! Bon on a continué notre route vers Camaret après avoir croisé quatre sangliers nous sommes arrivés à bon port. à Trois heurs moins le quart pour boire not' Ricard.